En
chiffres
Chaque année, la Commission canadienne des droits de la personne aide des milliers de personnes à déterminer si leur plainte de discrimination est recevable. Bien souvent, la Commission les aide à trouver une solution rapidement, sans formalisme, ou à déterminer le meilleur processus à utiliser pour régler leur problème.
Une minorité de gens qui communiquent avec la Commission déposent officiellement une plainte de discrimination.
Les statistiques présentées plus loin font état des plaintes officielles déposées par écrit dont la Commission s’est occupée en 2017.
De par la loi, la Commission doit prendre en compte toutes les plaintes de discrimination qu’elle reçoit. Elle peut décider de ne pas traiter la plainte ou de la renvoyer à un autre mécanisme de règlement des différends.
Quand elle le peut, la Commission invite les gens à conclure une entente à l’amiable dans les meilleurs délais. Si les parties n’arrivent pas à s’entendre, la Commission peut faire enquête.
Si elle le juge à propos, la Commission peut renvoyer la plainte devant le Tribunal canadien des droits de la personne qui tiendrait une audience.